Tout savoir sur l’éviction et les indemnités accessoires
Carlos Sanchez
L’indemnité d’éviction se scinde en deux parties : une part principale, complétée par des indemnités accessoires.
La crise sanitaire a significativement impacté notre perception du monde professionnel et de l’espace de travail. L’adoption du télétravail y est pour beaucoup. Alors que la pandémie est derrière nous, une grande partie des salariés français continue de travailler à distance 2 à 4 jours par semaine. Un format qui fait bouger les lignes et qui oblige les entreprises à repenser leurs bureaux en fonction des nouveaux usages.
Pour une grande partie des actifs avant la crise sanitaire, le bureau était le seul endroit où il était techniquement possible de travailler, puisqu’il disposait de tous les supports nécessaires (intranet, logiciels…). À l’arrivée des confinements, les entreprises se sont organisées et ont développé les outils nécessaires pour permettre à leurs collaborateurs de travailler à distance.
Problème, dès lors qu’il a fallu retourner au bureau, ce dernier est vite devenu beaucoup moins attrayant. Et c’est là que l’immobilier entre en jeu : il faut donner envie aux équipes de retourner sur place. D’abord pour le bien-être des salariés, mais aussi pour rentabiliser des locaux dorénavant moins fréquentés.
Après être passés par la case full présentiel, puis full distanciel, nous avons basculé dans un entre-deux : le bureau hybride. L’hybride se définit par le mix entre télétravail et présence en entreprise. Un format adopté par de nombreux salariés français.
Dans ce contexte, les entreprises sont amenées à repenser leurs espaces de travail : d’une part pour faire revenir les collaborateurs, d’autre part pour s’adapter aux nouveaux flux de personnes dans les locaux. Tout l’enjeu des bureaux nouvelle génération est donc d’arriver à conjuguer bien-être et productivité. Exit les bureaux froids, impersonnels et standards, il faut instaurer le confort et la convivialité. Pour cela, il faut certes miser sur le mobilier et la décoration, mais cela va aussi passer par la conception et le réagencement.
Face à ces évolutions et aux nouveaux modes de travail arrivés avec la crise sanitaire, les bureaux se doivent définitivement d’être flexibles. Une contrainte qui a un coût certes, mais qui permet d’assurer la rentabilité des locaux sur la durée.
Pour gagner en flexibilité, l’espace de travail doit être :
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L’indemnité d’éviction se scinde en deux parties : une part principale, complétée par des indemnités accessoires.
L’évaluation de l’indemnité d’éviction soulève des questions juridiques techniques comme la prise en compte du droit au bail..
L’indemnité d’éviction commerciale peut être une affaire complexe à gérer, tant pour le bailleur que pour le preneur.
Depuis la crise sanitaire qui nous a frappé en 2020, la logistique s’est définitivement imposée comme un secteur vital pour notre société. Contrairement à de nombreux métiers qui ont souffert des différents confinements, elle a au contraire connu un développement soudain et massif.
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